L'erreur est bénéfique...pour qui la corrige! (ce que ne font assurément pas les Shadoks, trop occupés à être obstinés dans leur bêtise...).
Pour cela, l’enseignant doit faire partie de ces personnes "déraisonnables" qui voient des opportunités là où d’autres ne verraient que des obstacles.
Quant à l'élève, il doit garder à l'esprit que, d'une certaine façon, il n’y a pas d’erreurs, pas de coïncidences. Tous les évènements qui surviennent lors d'une séance de travail sont autant d'opportunités qui nous sont données pour apprendre.
C'est d'ailleurs en grande partie par la correction des erreurs que se construit l'expérience (cette fameuse lanterne que l'on porte sur le dos et qui n'éclaire jamais que le chemin parcouru!).
C'est d'ailleurs en grande partie par la correction des erreurs que se construit l'expérience (cette fameuse lanterne que l'on porte sur le dos et qui n'éclaire jamais que le chemin parcouru!).
La vraie faute est celle que l’on ne corrige pas. En définitive, quand on a le droit de se tromper impunément, on est toujours sûr de réussir!
A méditer par tous!
les Shadoks, d'après Jacques Rouxel.
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